Une quinzaine de personnes ont assisté à la réunion statutaire ce jeudi 7 novembre au restaurant La Terrasse.
Georges a invité son frère, Serge, à assister à notre réunion. Jean-Thierry Arnell, accompagné de son épouse, était le conférencier du soir.
Suite à la présentation des membres et des invités, du critère des 4 questions sur ce que nous pensons, disons ou faisons, Rigobert a initié une réflexion sur la pensée du jour :
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, mais parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles - Sénèque
Un point a été fait sur les différentes ations à venir, comme notre Boat Party du 23 novembre et la soirée bateau des personnes âgées du 14 décembre.
René-Jean a rappelé que la "Boat Party sur le bateau Explorer" est avant tout une action de collecte de fonds pour financer une action humanitaire : la sortie annuelle organisée par le club sur le lagon de Simpsonbay. De cet fait, cela ouvre droit à une déduction fiscale de 80% du montant du don, conformément aux articles 200 (personnes physiques) et 238 bis-paragraphe 5 (personnes morales) du Code Général des Impôts de la Collectivité de Saint-Martin. Le coût de cette soirée ne reviendrait donc plus qu'à 20 € ou 20 $ par couple !
George Gumbs nous a ensuite présenté le parcours de notre conférencier du soir, Jean-Thierry Arnell (COMPUTECH).
Jean-Thierry nous a parlé de la « 4e révolution industrielle », ses enjeux & impacts, positifs comme négatifs. S'en est suivi une discussion sur ce thème, et notamment sur les inquiétudes liées, notamment au niveau de l’emploi, du droit à la vie privée…
A propos de la 4e révolution industrielle
Le concept d’industrie 4.0 ou industrie du futur correspond à une nouvelle façon d’organiser les moyens de production. Cette nouvelle industrie s'affirme comme la convergence du monde virtuel, de la conception numérique, de la gestion (opérations, finance et marketing) avec les produits et objets du monde réel. Les grandes promesses de cette quatrième révolution industrielle sont de séduire les consommateurs avec des produits uniques et personnalisés, et malgré de faibles volumes de fabrication, de maintenir des gains. Ces mêmes consommateurs peuvent ainsi communiquer avec les machines durant les phases de réalisation. Selon ce principe, dans le contexte de l’automatisation industrielle, cela se caractérise par la mise en œuvre de capteurs qui sont les éléments de base des systèmes d'acquisition et de contrôle de données (SCADA). Ils permettent de transformer des grandeurs physiques (température, pression, position, concentration, autres…) en signaux, le plus souvent électriques, qui renseignent sur ces grandeurs. Ces capteurs permettent aux robots d'une chaîne de production de dialoguer et d'adapter l'outil de production aux différents besoins, de manière non exhaustive, les maintenances, les besoins des marchés ou les modifications des clients. Outre les aspects technologiques, cette quatrième révolution industrielle influe sur différents aspects de nos sociétés modernes. De nouveaux enjeux apparaissent au travers de cette nouvelle manière de produire. L'industrie 4.0 touche évidemment l'aspect économique mais a également des impacts sociaux, politiques ou environnementaux. Il pose la question de l'emploi de millions de salariés à travers le monde. En effet, l'accompagnement des salariés actuels et la formation des futurs salariés sont à prendre en compte. (Wikipédia)
Pour les personnes intéressés par ce sujet, Jean-Thierry propose la lecture de cet ouvrage : https://www.amazon.fr/quatri%C3%A8me-r%C3%A9volution-industrielle-Klaus-Schwab/dp/2100759671.